Articles récents
Fuir l’eden
« Les plus belles roses sortent sur un tas de fumier ». Est-il possible de fuir l’Eden ? Dans ce récit touchant, délicat, humaniste Olivier Dorchamps interroge l’identité sociale tout en accordant une place prépondérante à l’Amour. Dans un environnement submergé par la dévotion (celui d’un frère et une sœur, celui d’amitiés fortes), l’auteur joue sur le paradoxe.…
Un jour, ma fille a disparu dans la nuit de mon cerveau.
« Je voudrais me lever mais mon cœur reste assis ». Lors d’un moment d’inattention Nina disparaît dans une fête foraine. Retrouvée saine et sauve au petit matin, la vie va pouvoir reprendre son cours. Mais Emma, sa mère, ne le reconnaît pas. Un doute obsessionnel s’empare d’elle. Remplie de suspicion, les joies des retrouvailles s’étiolent car…
Staline a bu la mer.
« Chaque homme, à quelque période de sa vie, a eu la même soif d’océan que moi ». Herman Melville, Moby Dick. Une histoire étonnante, en apparence satirique pour raconter une absurdité écologique. Le « baiser de la Steppe », vent fou qui frappe à la fenêtre du Kremlin, redouté par Joseph Staline car l’affaiblissant, guidé selon la doctrine…
Incendie blanc.
« Car si j’avais d’abord refusé de le concevoir, il se trouve qu’elle avait tout façonné dans ma vie : elle était une exigence nécessaire qui avait créé un monde ». Dans ce premier roman Antoine Catel raconte l’histoire de sa petite sœur, son combat contre l’addiction avec la cocaïne : elle a érigé un monde emprunté, factice dans…
Les mangeurs de nuit.
Premier coup de cœur de la rentrée littéraire de cet hiver 2023. Aujourd’hui je vais vous parler de personnages fabuleux, de littérature, de la Colombie-britannique, des semeurs d’espoir et des mangeurs de nuit, du petit prince, et des hommes-saumons, des mythes :celles des Issei, des Nisei, de Greenwood et les légendes tsimshian, de contes de mondes…
La petite menteuse.
« Elle s’approchait de la fin. Il avait fallu si peu de choses pour que deux vies basculent. L’ennui et le mal-être d’une adolescente, la grossièreté des garçons, la volonté de bien faire de deux enseignants, la célébrité d’un gendarme, le bovarysme d’une juge d’instruction, les rumeurs malfaisantes d’une petite ville, la conviction établie d’une mère,…
Lire. Oh ‘dire. Ode à ce que respire le souffle qui passe de celles et ceux qui écrivent à leur corps défendu en roman ou en vrai, au fond la même chose. La liberté, chère dame se dit de ce qui distingue les mots, ces mots qui se lisent d’un bout de souffle, en reprenant l’air de rien et du tout engagé en soi et envers toutes les histoires sans début et sans fin, en fin vers l’imagination dévoilée en pleine tempête. Alexandra sélectionne le petit caillou, le livre, celui qui dérange et fait surgir en tête, en premier et avant tout ce qui est le monde et vous livre une petite perle. Selon elle. Cela n’engage qu’elle. Elle le partage. Karim Arezki.