Je me souviens de l’été 2019 (et oui déjà !!) où j’avais été éclaboussée par une évidence qui confirmait l’appartenance d’Erwan Larher à cette famille d’écrivains qui : (je me cite… waouh…) « détient l’art du maniement des mots, du maniement des pages, de la typographie, de l’écriture, qui sculpte des personnages, qui façonne la langue afin que le …