On savoure, se délecte de formules succulentes, se régale de cette fantaisie, de cette créativité pleine d’esprit!
Nous sommes dans le Paris des intellectuels et des artistes à la veille de la seconde guerre mondiale lors de la montée du nazisme.
Une anecdote, un affront, une phrase prononcée.. et nous voilà entraînés dans une course poursuite délirante : Giacometti n’a qu’une seule obsession: casser la gueule de Jean-Paul Sartre.
On rencontre alors, Antonin Artaud , Anais Nin, Pablo Picasso, François Mauriac, Breton, Balthus…
Les dialogues sont exceptionnels notamment celui entre JP Sartre et Maxence Pericart, l’opticien!!!
C’est à lire!!
Merci monsieur Jérôme Attal, hâte de vous rencontrer à Maffliers pour la petite sonneuse de cloche.
