Installez vous, mettez sur votre playslit la nocturne #20 en do dièse mineur de Chopin, et délectez-vous avec ce sobre et doux instant de poésie.
La maladie engendre l’oubli, altère les souvenirs et les proches mais révèle les secrets de toute une vie.
La maladie devient une seconde chance, la possibilité d’une renaissance : celle d’un amour qui étouffait et se consumait à petit feu sous le poids des années et du quotidien, des tragédies de la vie, des enfants.
Tetsuo et Fujiko Niré, vont vivre dans une résidence parce que Fujiko oublie.
J’ai fléchi devant le respect d’un homme de toute une vie qui ne manquera pas de tendresse et de délicatesse face à l’être aimée, comprendra les douleurs de sa vie.
J’ai été touchée par cette acceptation de l’irréversible et ce tant d’amour de ces nouveaux fiancés.
Un livre et un auteur à découvrir !